Un jour qui symbolise les luttes de celles et ceux qui n’ont baissé ni les bras ni la tête.
Se mobiliser dans les urnes, se rassembler pacifiquement dans la rue.
Le 1er mai c’est la « Fête internationale des travailleuses et des travailleurs » depuis 1889 (voir l’excellente chronique historique sur ce jour de Mathilde Larrre sur twitter) car c’est également un jour de mobilisation et d’expression pour les droits des travailleurs, la paix, la démocratie et la solidarité internationale.
Le muguet envahit nos rues… le mien pousse rose, rappelant l’églantine rouge initiale.
Dans la rue, c’est l’occasion de retrouver les amis associatifs, syndicaux et politiques comme aujourd’hui pour moi à Paris pour Les Radicaux de Gauche – LRDG : les jeunes de Gauche Républicaine & Socialiste notamment, une discussion avec les parlementaires du Parti Communiste Français (PCF)l’occasion de remercier la Sénatrice Eliane Assassi qui a mené et fait aboutir l’enquête « Mc Kinsey ». J’aurai pu croiser mes amis de Sartrouville, dont Virginie Hebert et M’hamed Kaki (la prochaine fois !).
Et, bien sûr, de penser, de manière toujours très émue, à Pierre Bérégovoy parti voici 29 ans et à Brahim Bouarram jeté dans la Seine par des militants d’extrême-droite parce qu’il était arabe voici 27 ans.





