Un gros sujet que le Parisien soulève cette semaine avec cet article « Déserts médicaux : Sartrouville compte trois gynécologues… pour 52000 habitants – Le Parisien , et pas seulement dans cette spécialité pour la 2e ville des Yvelines en habitants mais les dernières pour le nombre de soignants/habitants.
Des solutions existent pourtant, notamment des centres (voire des maisons de santé) suffisamment dimensionnées. Nous avons mis sur la table plusieurs options.
En 25 ans au pouvoir, le Maire en a fermé 1 sur 2. Il ne peut pas s’étonner aujourd’hui du résultat de son manque de volontarisme, de soutien à des médecins et soignants ou conventionnés en secteur 1 (bizarrement, ses collègues des villes aux alentours arrivent à monter des projets…).
Sa seule réalisation récente est la vente d’un terrain à un groupe de santé privé, sans aucun levier pour la ville sur ce qui se passera. C’est une réalité politique et il conviendrait qu’il l’assume.
Sur ce sujet, vous pouvez également lire la tribune que ma collègue Danielle Chodat livre dans le dernier magazine municipal de Sartrouville : Vers un désert des services publics et de proximité à Sartrouville ? | (sartrouvillecitoyenne.fr)«
« Depuis plusieurs années, nos services publics de proximité ferment les uns après les autres : c’est un choix politique qui impacte le quotidien des Sartrouvillois et dont on a bien vu les effets lors des deux premiers confinements et qui doit être revu dans l’intérêt collectif des habitants et de la 2e ville des Yvelines. » Danielle rappelle ensuite de manière très illustrée et concrète les différentes fermetures et les difficultés que cela génère au quotidien aujourd’hui. Sa conclusion est limpide « Pour bien vivre à Sartrouville, pour une ville apaisée où chacun a sa place, il faut faire revenir les services publics de proximité. »